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TÉRAMA
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24 décembre 2011

TÉRAMA #22 Camaaragan chapitre XII

CHAPITRE XII

 

Camaraagan entra dans le temple après avoir tué les démons qui gardaient l'entrée, il était gigantesque et entièrement en noir. Il y avait de nombreuses statues, toutes identiques Camaraagan regarda de plus près et pu voir que c’était des représentations d’Almara. Scrackoturx l’aimait tellement qu’il l’avait affiché partout.

 

-Bienvenue dans mon royaume Camaraagan.

 

Scrackoturx se leva de son trône.

 

-Je suis content que tu sois venu.

 

-Vous avez pris une apparence d'homme, à ce que je vois.

 

-Oui. Il sourit. Je sais maintenant comment ramener ma bien aimée à la vie.

 

-Je crois que ça va être inutile car je vais en finir avec vous.

 

-Tu crois ça ?

 

-Oui. Vous êtes idiot au lieu de faire tout ça vous auriez du faire entendre votre voix au Tribunal des Dieux et demander quel soit ramener à la vie lorsque son âme attendait le verdict.

 

Scrackoturx se leva et descendit les marches menant à son trône.

 

-C’est toi qui est stupide, mon père ne l’a pas seulement brûlé vive, il l’a banni de Térama, donc elle n’a pas pu comparaître devant le tribunal. Maintenant donne moi l'épée et en échange grâce à mes nouveaux pouvoirs je ramènerai ta mère.

 

-Je comptais le demander à Mercrédios.

 

-Mercrédios! Il ne peut pas ramener les dieux à la vie. Seul moi peut le faire grâce aux pouvoirs que j’ai obtenus. Si tu me tue, je ne pourrais pas le faire. Donne-moi l’épée et je…

 

-Vous oubliez que ma mère est devenue mortelle, donc je n’ai pas besoin de vous pour la ramener et de plus votre charmant fils ne l’a pas emmené au Paradis, mais dans son royaume se trouvant dans une autre dimension.

 

-Peut-être, mais mon fils ne le fera pas sans mon accord, vu que c’est moi maintenant qui gère tous.

 

-C’est pour ça que je vais en finir avec vous. Si je vous tue Dénomios sera le nouveau roi et donc il autorisera Mercrédios à ramener ma mère et mon père qui lui est au Paradis et n’attend que ça de revenir parmi les vivants.

 

-Tu n’ais pas idiot, j’apprécie ça. Mais il y a un hic, mes pouvoirs dépassent de loin les tiens et donc ne penses pas pouvoir me vaincre.

 

-Quand on est trop sûre de soi il peut arriver qu’on perde, dit Camaraagan

 

-Ça ne m’arrivera pas.

 

-Nous verrons.

 

Il avait les cheveux bruns et un corps bien bâtit et son corps était recouvert d’un habit sombre.

 

-Maintenant prépare-toi à mourir Camaraagan.

 

Il tendit ses bras qui se transformèrent en deux longues épées, une armure noire le recouvrit entièrement, des ailes sortirent de son dos et il s’envola.

 

Camaraagan ne savait plus ou se mettre, son ennemi pouvait voler, mais pas lui. Il pensait que c’était fini, quand soudain arriva quelqu’un auquel il ne s’attendait pas à voir, son père.

 

-Qu’attends-tu, mon fils ?

 

Les portes étaient grandes ouvertes et Hanrom se tenait dans l’ouverture.

 

-Une invitation de sa part à venir le rejoindre.

Il avança d’un pas tranquille et regarda en haut.

 

-Enfin je peux voir mon assassin. Assassin qui a prit la voie des aires vu qu’il a peur d’être en bas et de battre le fer à  la loyal, avec mon fils. Vous les dieux, vous êtes tous des pleutres. Seul Dénomios possède du courage.

 

-Je ne sais pas comment tu as pu sortir du royaume des bons esprits, c'est sûrement grâce à mon frère, peut importe, je vais te reconduire prestement là d'où tu viens et en aurais jamais du sortir.

 

Hanrom sourit et dit à Camaraagan :

 

-Donne-moi l’épée mon fils !

 

-Tu es sûre ?

 

-Absolument.

Il s’avança et rejoignit son fils.

 

-Non ! Tu n’as pas le droit, cette tache n’est plus la tienne Hanrom, explosa Scrackoturx.

 

-C’est entre toi et moi maintenant.

 

-Alors trouve la mort une fois de plus.

 

Scrackoturx vola vers le sol, ses deux bras épées en avant.

 

Hanrom au dernier moment prit l’épée des mains de Camaraagan et para l’attaque. Le dieu du mal fut sous le choc.

 

-Comment est ce possible ?

 

-Tu ne sais pas te battre voilà tous.

 

-Tu vas voir.

 

Il plia ses ailes et fit jouer de ses bras, Hanrom parait les coups un par un.

 

-Tu peux mieux faire, dit il à Scrackoturx.

 

-Je vais donc te montrer ma vraie puissance.

 

Scrackoturx prit sa vraie apparence, le plafond risqua de se briser vu la taille du dieu et des boucliers runiques volèrent autour de lui. Scrackoturx regarda ses ennemis et rit.

 

-Qu’en dîtes-vous ?

 

Hanrom ne fut même pas ébranlé.

 

-Je m’attendais à mieux.

 

Il regarda Camaraagan et dit :

 

-Ça te dirait de te battre à mes côtés ?

 

-Oui, mais je n’ai pas d’autres armes.

 

-Dans ce cas.

 

Il lança l’épée au-dessus de lui et dans une vague de lumière elle se divisa.

 

-Une arme a toujours sa jumelle cachée quelque part. Il suffit de la trouvé grâce à son cœur. Quand tu auras compris ça tu seras invincible et personne ne pourra t’arrêter.

 

-Bien compris.

 

-Alors attrape.

 

Camaraagan tendit le bras et la seconde épée rejoignit sa main.

Hanrom réceptionna la première.

 

-Maintenant !

 

Scrackoturx déversa toute sa force destructrice et nouvellement acquise. Les pouvoirs des quatre éléments furent déchaînés, père et fils firent face et évitèrent les attaques, puis attaquèrent le dieu. Les deux épées à elles seules réussirent à briser la défense de Scrackoturx. Le corps de Scrackoturx telle une passoire laissa s’échapper les quatre pierres. Il était maintenant vulnérable.

 

-Soyez maudit !

 

Il transperça le plafond de ses bras et le détruisit.

 

-Tu ne t’enfuiras pas ! Cria Hanrom. Tant que je serai encore sur mes deux jambes et que mon cœur battra dans ma poitrine.

 

Il prit l’épée à deux mains et se laissa envahir par sa puissance. Il prépara son attaque et laissa son arme se déchaîner. L’arme fit des mouvements incroyables et le corps de Scrackoturx fut enfin anéanti, le dieu disparut dans un torrent de lumière et tout le temple fut détruit.

 

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